
Mireille Gagné
« Le cœur
est toujours plus beau
rouge »

DANS LES MÉDIAS
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LE SYNDROME DE TAKOTSUBO
[...] le cinquième livre de Mireille Gagné possède un remarquable respect de la ligne, au sens des arts visuels. Ces courts récits originaux font penser, oui, à de fines estampes japonaises. Éthérées et touchantes à la fois.
Mario Cloutier
La Presse+
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LE SYNDROME DE TAKOTSUBO
J’aime ces textes qui tiennent sur un fil, vous poussent tout doucement vers le précipice, vous laissent sur un pied, dans une situation où vous ne savez plus comment réagir. La nouvelliste cherche une forme de vérité, de point d’ancrage où il est possible de respirer.
Yvon Paré
Littérature du Québec
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LE SYNDROME DE TAKOTSUBO
Une inquiétante étrangeté plane toujours sur ses personnages en suspend, comme flottant hors de leur propre existence. C’est rempli de petites histoires étranges dont on nous laisse souvent deviner la fin et c’est très bien comme ça. Une auteure à suivre qui n’est pas sans me rappeler des univers à la Yoko Ogawa.
Myriam Daguzan Bernier
Journaliste indépendante
PUBLICATIONS
LE SYNDROME
DE
TAKOTSUBO
MINUIT MOINS DEUX AVANT LA FIN DU MONDE
LES HOMMES SONT DES CHEVREUILS QUI NE S'APPARTIENNENT PAS
NOIRCEUR
ET
AUTRES COULEURS
LES OIES
NE PEUVENT PAS
NOUS DIRE
BIO

Poète et nouvelliste, Mireille Gagné est née à l’Isle-aux-Grues et vit à Québec. Elle travaille dans le domaine de la culture et des communications. Elle a publié trois recueils de poésie aux Éditions de l’Hexagone : Les oies ne peuvent pas nous dire (2010), Les hommes sont des chevreuils qui ne s’appartiennent pas (2015) et Minuit moins deux avant la fin du monde (2018). Elle a également publié en 2010 le recueil de nouvelles Noirceur et autres couleurs aux Éditions Trampoline. En novembre 2018, elle sort le recueil de nouvelles intitulé Le syndrome de takotsubo aux éditions Sémaphore qui lui a valu le titre de finaliste du Prix de création littéraire de la Ville de Québec et du Salon international du livre de Québec 2019.
Crédit photo : Blanches bulles